Gwenaële Barussaud, Léo, Mon secret est une chance
« Pas de rêves où m’évader, pas même un sommeil de brute dans lequel je me perdrais pour tout oublier. Non, j’ai la conscience bien éveillée au contraire, je sens parfaitement cette crevasse dans mon cœur, qui fissure mes certitudes, ébranle mes convictions. Mes parents ne sont pas mes parents. […] C’était donc ça mon prénom d’aristo, mon teint pâle, mes cheveux blonds ? »