Michael Morpurgo, L’ogre du soulier
Un conte frais et fantaisiste, dans la meilleure veine « morpurgesque ».
Un conte frais et fantaisiste, dans la meilleure veine « morpurgesque ».
L'amitié entre un garçon et son cheval, une ode au courage et à l'héroïsme pendant la Première Guerre mondiale.
Un phare, un gardien, une nuit de tempête, un naufrage et un sauvetage. Le début d’une incroyable aventure et d’une belle amitié.
Chine, pendant la guerre sino-japonaise, disons en 1937-1938. Le jeune Ashley Anderson doit fuir la mission hôpital où officie son père. Cornaqué par Oncle Sung, un moine tibétain, le voilà parti sur les sentiers qui mènent aux contreforts de l’Himalaya.
« Ma grand-mère a simplement surgi de la mer, il y a longtemps, comme une sirène, sauf qu’elle a deux jambes et pas de queue de poisson. Elle devait avoir une douzaine d’années à l’époque, mais personne n’en était sûr, car aucun signe n’indiquait qui elle était, ni l’endroit d’où elle venait. »
« - Regardez comme sa tête en bois branle quand il marche ! Ce n’est pas un vrai enfant, disaient [les voisins de Gepetto]. Un vrai petit garçon a de l’indépendance d’esprit, il part à l’aventure. Vous ne pouvez pas fabriquer un esprit avec du bois, signor Gepetto ! »
Dans le petit village de Dorta, chaque veille de Noël, les villageois célèbrent le carnaval du dragon des montagnes à grand renfort de tambourinades. Le jour de Noël, après une marche aux flambeaux animée du son des cloches, un conteur est tiré au sort pour faire revivre l’histoire du dragon.
« Totto était un âne. Son père avait été un âne avant lui, et sa mère aussi. Totto devait être un âne, que ça lui plaise ou pas. » Chaque jour, son maître le charge de pastèques, qu’ils vont vendre sur l’un des marchés de Venise. Jusqu’au jour où ils s’aventurent sur la place Saint-Marc… à l’aplomb des célèbres chevaux, ce qui n’est pas vraiment à l’avantage de Totto, mais aussi sous les fenêtres de la petite fille du Doge.
Le héros de ce roman historique est bien Joey, un magnifique cheval bai, qui raconte, à la première personne, l’enfer de la Première Guerre mondiale. Lancé dans la bataille, prisonnier, cheval d’ambulance, gravement blessé et atteint du tétanos, guéri et de nouveau attelé à un fourgon, il passe d’un camp à l’autre selon les fortunes de guerre.