Paul Goble, La fille qui aimait les chevaux sauvages
Cet hymne à la nature et à la liberté, s’il a pour cadre le Grand Ouest américain, n’est en rien une caricature. Bien au contraire, il fait entrer de plain pied dans un univers riche de ses légendes comme de ses réalités. Les illustrations, très colorées et contrastées, ont les teintes des tissages traditionnels.