Marie Desplechin, Les Grands Méchants
Sans ces grands méchants, notre littérature serait bien fade !
Sans ces grands méchants, notre littérature serait bien fade !
Que faut-il savoir pour être un parfait éléphant ?
Aidée par Walter, un morse jovial, Lottie saura éviter le requin qu’elle est la seule à voir dans la piscine. Un joli conte pour apprendre à ne plus avoir peur de l’eau.
« Un renard affamé. Deux yeux rusés. Trois poules dodues. Quatre pattes de velours. » Voilà qui promet du suspens ! Kate Read use d’une palette éclatante de couleurs, et mêle joyeusement collages, peinture et impressions diverses pour faire virevolter renard et poulettes.
« Louna aime rêver. Louna aime le silence ». Mais arrive à l’école une nouvelle élève, Maeva, qui vient de Tahiti. « Une vraie Zébulette », qui papote, et qui remue, et qui se prend d’amitié pour notre Louna, qui n’en peut mais et la rabroue.
Momoko, fillette en robe de satin rouge et aux cheveux bien tirés, « attend à l’arrière de la scène avec tous ses amis du cours de piano ». Voilà venu le moment tant attendu – et tant redouté : son premier récital.
Souris des champs, ours, escargots, écureuils, marmottes… chacun dort bien au chaud dans son chez-soi tout douillet. Et puis, ça renifle, ça se bouge… Mais où donc courent-ils tous ?
« Un soir, au moment où elle allait d’endormir, Sylvie crut voir une porte dans le mur de sa chambre. Elle se dit qu’elle regarderait le lendemain matin pour vérifier si la porte était toujours là. » Le lendemain, le soir venu, Sylvie, munie d’une lampe de poche, découvre un escalier secret derrière la porte. Au bout ? Un zoo !
« Louna est une petite fille très timide, qui parle peu mais qui observe tout. » Une rêveuse, toujours dans la lune, un peu perdue dans ce monde trépidant. Le calme, Louna le trouve chez sa grand-mère, et plus particulièrement dans une chambre bleue tapissée de toile de Jouy.
M Lamy, dont la dégaine laisse présumer qu’il fut autrefois un jeune cadre dynamique, se prend de nostalgie devant sa contrebasse reléguée au grenier. Pour lui, oui, mais qu’y peut sa fille Charlotte, une blondine haute comme la moitié d’un violoncelle ? « A toi de jouer, ma Charlotte ! » Mais que veut donc Charlotte ? Allez, je vous le souffle : elle se rêve en kimono sur un tatami, notre Charlotte !