Gwenaële Barussaud, Juliette, la mode au bout des doigts
« N’ayez pas peur d’être à l’avant-garde de la mode. J’ai observé les clientes à L’Elégance parisienne ; j’ai étudié les silhouettes sur les boulevards… Le vent tourne, la crinoline vit ses heures dernières. Il ne faut pas que nous rations le coche !
Alors Cordélia, qui ne demandait qu’à lancer les modes plutôt que de les suivre, se rallia à l’avis de sa dessinatrice. »