Jules Verne, Le Tour du monde en 80 jours
Une édition intégrale du célèbre roman, enrichie d’illustrations en couleurs pleines d’humour.
Une édition intégrale du célèbre roman, enrichie d’illustrations en couleurs pleines d’humour.
« Un peu avant minuit, un tel paquet de mer s’abattit sur le flanc du yacht que ce fut miracle s’il ne fut pas démonté de son gouvernail.
Les enfants, qui avaient été renversés du coup, purent se relever presque aussitôt.
« Gouverne-t-il, Briant ? demanda l’un d’eux. »
De Moscou aux rivages du lac Baïkal, le lecteur suivra Michel Strogoff sur plus de 5 500 kilomètres. Orages, marais, incendies, chavirages, loups féroces, trahisons… Que de péripéties pour échapper aux hordes tartares menées par Ivan Ogareff et remettre une lettre au grand-duc pris au piège à Irkoutsk !
En 20 pages cartonnées, nous suivons Otto Lidenbrock et son neveu Axel dans leur voyage extraordinaire. Il ne manque ni les ichtyosaures, ni les plésiosaures, ni les champignons géants, ni le troupeau de mammouths ! De l’Islande au Stromboli, que d’aventures !
« Descends dans le cratère du Yocul de Sneffels que l’ombre du Scartaris vient caresser avant les calendes de juillet, voyageur audacieux, et tu parviendras au centre de la Terre. Ce que j’ai fait. Arne Saknussemm. »
Le Comte de Chanteleine, roman inattendu de Jules Verne, narre les aventures d’un gentilhomme breton pendant les guerres de Vendée, pourchassé par les Bleus, et notamment son difficile retour sur ses terres.
Roman d’aventure, roman initiatique, Deux ans de vacances, cela sent bon les embruns, les cabanes, le feu de camp ! Mais quand débarquent du Severn de redoutables bandits, l’aventure devient nettement plus inquiétante.
Une vie hors du commun racontée par un Jules Verne passionné, lui aussi, de voyages extraordinaires et de terres à découvrir.
Le président Barbicane, le capitaine Nicholl et « l’intrépide aventurier » Michel Ardan, ces trois sympathiques personnages, poursuivent ici les aventures très scientifiques débutées avec "De la Terre à la Lune" (1865).
Pour les jeunes lecteurs qui revêtiraient volontiers un épais macfarlane avant de suivre leur héros à travers le monde. Ce « Phileas Fogg, personnage énigmatique, dont on ne savait rien, sinon que c’était un fort galant homme et l’un des plus beaux gentlemen de la haute société anglaise » …