Erik L’Homme, La Patience du héron
Dans un Japon de pure poésie, une jeune orpheline, Mizuki, « pensait beaucoup à un garçon du nom de Shinzo qui avait été son meilleur ami. Il était parti en ville pour apprendre le métier du sabre. »
Dans un Japon de pure poésie, une jeune orpheline, Mizuki, « pensait beaucoup à un garçon du nom de Shinzo qui avait été son meilleur ami. Il était parti en ville pour apprendre le métier du sabre. »