Laurent Bègue, Marco Polo, le voyageur émerveillé
« En 1271, mon père et mon oncle reprirent la mer pour rejoindre le Grand Khan. Cette fois-ci, ils m’emmenèrent avec eux, je venais d’avoir dix-sept ans… […]Avant de partir, le cœur serré, je regardai une dernière fois le port de Venise où j’avais grandi. Du monde, je ne connaissais rien d’autre. »