Herman Melville, Moby Dick
Les illustrations de Biélorusse Anton Lomaev servent le roman avec une rare énergie, avec des tableaux le plus souvent en pleine page – et vu le format du livre (26 cm x 37,5 cm), on en prend plein les mirettes. Que le lecteur soit perché sur la vigie ou peine sur les avirons d’une baleinière, il est pris autant par l’image que par le texte (intelligemment abrégé) qui emporte, comme une vague, une autre et encore une autre.