Gwenaëlle Barussaud, Pauline, demoiselle des grands magasins
« Pauline leva les yeux. C’était une façade immense, toute blanche, surmontée de grandes lettres d’or qui indiquaient ce nom : ‘‘A L’ELEGANCE PARISIENNE’’. […]
- Voilà ce qu’il nous faut, Lucille, s’exclama Pauline.
- Quoi donc ? demanda la fillette aux taches de rousseur, d’un air méfiant.
- Mais ça, voyons ! Un emploi dans ce grand magasin ! »