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Gwenaële Barussaud, Léo, Mon secret est une chance
Gwenaële Barussaud, Léo, Mon secret est une chance

Gwenaële Barussaud, Léo, Mon secret est une chance

« Pas de rêves où m’évader, pas même un sommeil de brute dans lequel je me perdrais pour tout oublier. Non, j’ai la conscience bien éveillée au contraire, je sens parfaitement cette crevasse dans mon cœur, qui fissure mes certitudes, ébranle mes convictions. Mes parents ne sont pas mes parents. […] C’était donc ça mon prénom d’aristo, mon teint pâle, mes cheveux blonds ? »

Gwenaële Barussaud Miss Dashwood t 3
Gwenaële Barussaud, Miss Dashwood, t 3 : Je vais le dire à l’empereur

Gwenaële Barussaud, Miss Dashwood, t 3 : Je vais le dire à l’empereur

Miss Dashwood, nurse certifiée, croyait avoir tout vu : de Godefroy et Charlotte, qui s’obstinent à dresser un marcassin (tome 1) à la petite Marie-Printemps, couvée par une mère surprotectrice (tome 2), elle avait pu exercer tout à loisir ses talents de pédagogue et son flegme britannique. Dans ce 3e tome, c’est Napoléon III lui-même qui va recourir à son savoir-faire.

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Gwenaële Barussaud, Juliette, la mode au bout des doigts

Gwenaële Barussaud, Juliette, la mode au bout des doigts

« N’ayez pas peur d’être à l’avant-garde de la mode. J’ai observé les clientes à L’Elégance parisienne ; j’ai étudié les silhouettes sur les boulevards… Le vent tourne, la crinoline vit ses heures dernières. Il ne faut pas que nous rations le coche !
Alors Cordélia, qui ne demandait qu’à lancer les modes plutôt que de les suivre, se rallia à l’avis de sa dessinatrice. »

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Gwenaële Barussaud, Les Demoiselles de l’Empire, t. 1 : Héloïse, pensionnaire à la Légion d’honneur

Gwenaële Barussaud, Les Demoiselles de l’Empire, t. 1 : Héloïse, pensionnaire à la Légion d’honneur

Février 1811. En ce jour d’hiver, la jeune Héloïse Boisseau, 15 ans, franchit la porte de la Maison d’éducation de la Légion d’honneur, fondée en 1805 par Napoléon. Curieuse date pour entrer à l’école ? A la Maison impériale de Saint-Denis, les jeunes élèves entrent et partent alors au gré de leurs familles.