Flore Vesco, 226 bébés
Ou comment se débarrasser de 226 nourrissons que des cigognes maladroites ont laissé tomber dans son jardin. Flore Vesco revient ici avec sa créativité, sa gouaille et son insolence coutumières.
Ou comment se débarrasser de 226 nourrissons que des cigognes maladroites ont laissé tomber dans son jardin. Flore Vesco revient ici avec sa créativité, sa gouaille et son insolence coutumières.
Dans la bonne ville de Hamelin, quand les rats annoncent la peste, c’est la jeune Mirella, porteuse d’eau, qui va mener la danse… Une danse macabre, certes, mais aussi un bel élan de générosité en faveur des enfants et des exclus. Flore Vesco revisite la légende et joue des mots avec son talent habituel.
Et voilà comment Gustave Eiffel, en compagnie de Louis Pasteur et d’Alfred Nobel, va se trouver embringué dans un roman policier « fantastico-historico-scientifico-romantique », entourloupiné par Flore Vesco, jamais en reste quand il s’agit d’élaborer une intrigue, de l’assaisonner de situations cocasses et de jeux de mots où une créativité déjantée l’emporte (mais pas toujours) sur un fond d’esprit potache.
« - Mais que diable espériez-vous voir avec votre microscope ? s’exclama M. Ragoût.
- Eh bien, je ne savais pas. C’est justement ça qui est intéressant, répondit Louis Pasteur. »
Devenir demoiselle de compagnie de la reine, tel est le projet de la jeune Serine à la mort de son père, comte plus que désargenté du domaine de Chancies. Mais Sa Majesté, seconde épouse du roi Leo III, se révèle plus capricieuse que la pire des sœurs de Cendrillon…