Françoise Rachmuhl, Dieux et Déesses de la mythologie grecque
Françoise Rachmuhl, à qui l’on doit de nombreux albums de contes, présente dans cet album les douze dieux et déesses de l’Olympe, dans une langue simple et dynamique.
Françoise Rachmuhl, à qui l’on doit de nombreux albums de contes, présente dans cet album les douze dieux et déesses de l’Olympe, dans une langue simple et dynamique.
« Un jour, la Vache orange de monsieur Leblanc sauta par-dessus la barrière. La voilà partie sur la route. Un renard gris, qui passait par là, lui dit : comment ça va-t-il aujourd’hui ? La Vache s’assit et répondit : Meu… meu… je suis bien malade. » Eclat de rire général, surtout si c’est papa qui fait « meu ».
Les exigences du roman sentimental se mêlent ici à celles de la fantasy urbaine, avec une once de mystère typiquement british – mais ce qui différencie ce roman d’une production un peu nunuche est la part belle faite à l’œuvre d’art. Même s’il ne fait pas d’ombre au personnage central qu’est Jubella, l’un des « héros » du roman est une superbe toile de Turner...
Une très belle réflexion sur la mort, les racines, la transmission, la place unique des femmes dans la lignée, dans un roman qui n’exclut pas des passages drôles voire cocasses.
Cet album retrace la conquête de cinq sommets mythiques : l’Eiger, le K2, l’Everest, le mont McKinley et le Cervin.
Imaginez une Marguerite portant ses pétales en collerette, ses feuilles en jupon, un panier sous le bras – car la dessinatrice lui a ajouté bras et jambes, à notre vaillante Marguerite, et même un visage expressif.
Le bac en poche, tout fiérots du haut de leurs dix-sept ans, trois jeunes Chamoniards décident de se lancer dans une grande aventure : ouvrir, en trois jours, une nouvelle voie sur l’une des plus belles faces du massif, la plus raide, la plus exposée, la plus mythique : la face nord des Grandes Jorasses.
Quand Cigalou s’en va dans la montagne, il y découvre la liberté de courir dans la forêt et dans les alpages, mais aussi la gaité et, surtout, la bienveillance et la sollicitude.
Connaissez-vous ce jardin « sans porte ni chemin, où l’on entre sans le savoir » ? Il est peuplé de petits lutins coréens, proches cousins des elfes d’Elsa Beskow, et fleurit au gré des saisons.
Qui finira donc par la manger, cette succulente carotte qui voyage de page en page ? Le lapin, le cheval, le chevreuil ou le mouton ? Un grand classique, sur le principe de la comptine circulaire. Et une belle histoire d’amitié, de ces amitiés qui se forgent dans la nuit et le froid ! Ce seront les derniers flocons de neige de l’hiver, promis, demain ce sera (presque) le printemps.