Orianne Charpentier, La Vie au bout des doigts
Orianne Charpentier tisse un roman à la fois intimiste et historique, élégant et délicat.
Orianne Charpentier tisse un roman à la fois intimiste et historique, élégant et délicat.
Toujours sur le fil de l’arête, Erik L’Homme lance ici de nouveaux défis : dans quelles fortes et folles aventures la jeunesse est-elle prête à se lancer pour « entrer en résistance – en dissidence », pour « décontenancer l’époque dans laquelle nous vivons », pour « redonner de l’épaisseur au monde et à l’existence » ?
14 juin 1941. D’un seul coup, la vie de Lina bascule. « Ils m’ont arrêtée en chemise de nuit. » « Ils », les policiers du NKVD, la police secrète soviétique. Commence, pour cette adolescente lituanienne douée pour le dessin, un voyage au bout de la nuit, qui la mène, ainsi que sa mère, son jeune frère et des milliers de concitoyens, jusque dans un camp de travail en Sibérie.
Des empreintes immenses, sur des pistes insolites... Qui donc allait ainsi pieds nus ? Était-ce le barmanou, cet « abominable homme des neiges », cet homme sauvage que les montagnards disaient avoir croisé à la nuit tombante ? Le saura-t-on un jour ? Peut-être…