Une bibliothèque enfantine idéale
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« A seize ans [Perceval] est déjà un chasseur accompli. Selon son habitue, il s’est vêtu et équipé dans l’obscurité. Puis, laissant sa mère et ses serviteurs endormis, il a pris sa course vers l’ouest, armé d »’un épieu, de deux javelots et d’une hache au fer tranchant.»
« Le vieil homme le déposa sur le sol, le saisit par la main, et le conduisit vers un cheval blanc attaché à un arbre, à l’orée de la forêt.
Il ne faisait aucun doute que le personnage aux allures de moine, avec sa robe de laine blanche, était l’auteur de ce phénomène miraculeux. »
Le personnage de Spartacus est abordé de manière assez subtile, ce qui donne de la profondeur au récit. Le personnage présente de multiples facettes qui rendent compte de la complexité de la situation. Chef de guerre, grand guerrier, fin stratège, meneur d'hommes... par touches, l'homme affleure derrière les batailles.
Quittant donc son père, le vieux Bertrand de Castelmore, son maître d’armes Luis Alvarez et sa Gascogne natale, le jeune Charles commence, à Paris, par faire le siège de M de Tréville. Il rencontre bientôt Athos, Porthos et Aramis. Et les duels de s’enchaîner contre les hommes du cardinal…
Quand, à quatorze ans, Alexandre parvient à dompter l’étalon Bucéphale, le monde s’offre à lui, pour des années de chevauchées et de conquêtes. Rien ne lui résistera avant cette mauvaise fièvre qui le terrasse devant Babylone.
Autour de l’arbre aux fées, Hauviette, Ysabelot et Tiphaine pépient à qui mieux mieux en tressant des fleurs et des rubans. Mais Jeanne, elle, préfère déjà se mesurer à Marc, Pierre ou Richard – fût-ce avec une épée de bois.
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