Sara dalla Pozza, Qui est là ?
Ce petit point, qui grandit, qui grandit, qui se niche bien au chaud, qui devient un petit cœur avant de se décider à montrer le bout de son nez… ne serait-ce pas le bébé que Maman attend ?
Ce petit point, qui grandit, qui grandit, qui se niche bien au chaud, qui devient un petit cœur avant de se décider à montrer le bout de son nez… ne serait-ce pas le bébé que Maman attend ?
Nos deux esquimaux, Kô et Kô – dont l’histoire ne dit pas s’ils sont ou non jumeaux – sont partis à la recherche d’un peu de soleil. Fillettes sapinettes, bonhomme-désolé, cheval-six-pattes… leurs rencontres sont décidément bien étranges !
En portugais, la raposa connaît une destinée littéraire comparable à celle de son cousin Goupil. C’est donc tout naturellement qu’Aquilino Ribeiro (1885-1963) demanda à Benjamin Rabier (1864-1939) d’illustrer ces aventures pétillantes de malice.
Quand l’Amérique, rationnelle et efficace, affirme à la vieille Angleterre que « les fantômes n’existent pas, monsieur et j’imagine que les lois de la nature ne vont pas se trouver suspendus pour l’aristocratie britannique », un certain Sir Simon ne l’entend pas de cette oreille.
Par une coquetterie du Finlandais Zacharias Topelius (1818-1898), L’Espoir, resté à quai, ne sert que de décor à l’histoire complètement loufoque d’un autre navire, le Refanut. Dépassés, les Marseillais, avec leur sardine qui bouche le Vieux-Port ! Le Refanut, lui, se coince dans le golfe de Botnie, rien de moins !