Emilie Vast, Le Chant de Colombine
« Colombine est une oiselle. Une oiselle amoureuse. Chaque soir, elle va au pied de l’arbre de Pierrot. Mais Pierrot ne la voit pas. Pierrot aime la lune. » Et si notre oiselle chantait ?
« Colombine est une oiselle. Une oiselle amoureuse. Chaque soir, elle va au pied de l’arbre de Pierrot. Mais Pierrot ne la voit pas. Pierrot aime la lune. » Et si notre oiselle chantait ?
Au clair de la lune, Meunier tu dors, Frère Jacques… Ce grand album en donne les paroles et la musique, avec de délicieuses illustrations naïves. Mais il en donne, de plus, la « philosophie ».
Maurice Carême (1899- 1978) est l’un des auteurs belges les plus connus et les plus lus – et aussi les plus appris à l’école. Qui n’a pas récité, d’une petite voix timide, l’un ou l’autre de ses poèmes ? Il en écrivit, dit-on, plus de 2600 !
« Courtes et drôles, [elles] n’ont pas pris une ride : aujourd’hui encore elles nous amusent et nous font réfléchir », comme le note Annie Collognat, à qui nous devons cette traduction de 60 fables d'Esope, à la fois fidèle, légère et pleine d’humour.
Hugo, La Fontaine, Prévert, Verlaine, Rutebeuf, Maurice Carême, Anna de Noailles, ils sont tous là – et dans un si petit volume qu’il se glissera sans peine dans le sac à dos, que ce soit pour une semaine de camp scout ou une virée en voilier.
Chaque arbre aussi ! Sous la plume d’Inès de Chantérac, leurs feuilles deviennent « clowns, ballerines, poètes, infantes, elfes insolents ou timides fées des bois ».Chaque poésie entre comptine et haïku, évoque donc un arbre-personnage : une danseuse en jupon de ginkgo, un liquidambar-acrobate, un chêne magicien. En vis-à-vis, un collage de feuilles s’anime d’une jolie frimousse.
Douze chansons à fredonner ou à reprendre en chœur, pour fêter le centenaire de Charles Trenet, le « fou chantant » (1913-2001).
Ce choix de 83 fables séduit par ses illustrations contemporaines, fines et légèrement décalées. Rats, grenouilles, loups et lions arpentent les pages en costume cravate.
Pour un Noël intemporel, révisez vite vos classiques : « Les anges dans nos campagnes », « Entre le bœuf et l’âne gris », « Il est né le Divin Enfant » et « Mon beau sapin ».
La petite histoire veut que la nièce de Francis Poulenc, du haut de ses quatre ans, ait interrompu son oncle d’un : « Que c’est ennuyeux, ce que tu joues là ! Tiens, joue-moi ça ! » Et de poser sur le pupitre du piano son bel album de Babar.