Thème

Fantastique

Herman Melville, Moby Dick
Herman Melville, Moby Dick

Herman Melville, Moby Dick

Les illustrations de Biélorusse Anton Lomaev servent le roman avec une rare énergie, avec des tableaux le plus souvent en pleine page – et vu le format du livre (26 cm x 37,5 cm), on en prend plein les mirettes. Que le lecteur soit perché sur la vigie ou peine sur les avirons d’une baleinière, il est pris autant par l’image que par le texte (intelligemment abrégé) qui emporte, comme une vague, une autre et encore une autre.

Erik L’Homme, Nouvelle Sparte
Erik L’Homme, Nouvelle Sparte

Erik L’Homme, Nouvelle Sparte

Empruntant à la fois à l’Iliade – comment réagir aux attentats qui sèment le chaos dans la cité ? – et à l’Odyssée – Valère est prisonnier en Occidie des charmes d’une sulfureuse Circé -, ce trépidant roman d’aventures futuristes est aussi une belle leçon de vie pour ceux qui ont « l’âge-de-toutes-les-folies ».

Jirô Taniguchi, La forêt millénaire
Jirô Taniguchi, La forêt millénaire

Jirô Taniguchi, La forêt millénaire

Waturu, un jeune Tokyoïte de 10 ans, est recueilli par ses grands-parents dans un village de montagne. Perturbé par le divorce de ses parents et la maladie de sa mère, il ne trouve guère de compassion auprès de ses condisciples – lesquels le mettent au défi de grimper dans un arbre immense, « leur » arbre, au cœur de la forêt. Une forêt bien étrange, née d’un tremblement de terre, dans laquelle vivent de curieux animaux...

Eric Senabre, Star Trip
Eric Senabre, Star Trip

Eric Senabre, Star Trip

« Dans le poste de télévision, le capitaine Burke et le commander Rock, son officier en second, se figèrent dans une posture défensive à peine moins outrée que celle d’un éphèbe grec sur un tableau de la Renaissance. Leurs uniformes colorés – formés d’un sous-pull moulant en acrylique et d’un pantalon de treillis – scintillèrent un petit moment devant le décor en carton.»

Carole-Trebor,-Lumiere,-le-voyage-de-Svetlana
Carole Trébor, Lumière, le voyage de Svetlana

Carole Trébor, Lumière, le voyage de Svetlana

Svetlana. Ce n’est pas un prénom courant à Paris en 1774. Si elle vit rue Saint-Paul, la jeune adolescente sait qu’elle a été adoptée par ses « parents français », mais ignore pourquoi. A la mort de sa mère adoptive, elle décide son père de partir pour Saint-Pétersbourg, où une recommandation de son ami Diderot devrait lui permettre de rencontrer Catherine II.