Arnaud de Cacqueray, La femme au berceau
Quel est donc ce menuisier qui, dans son atelier de Bethléem, a fabriqué pour sa douce épouse un si beau berceau ? Et pourquoi donc ne vient-il pas s’y blottir, l’enfant tant attendu ?
Quel est donc ce menuisier qui, dans son atelier de Bethléem, a fabriqué pour sa douce épouse un si beau berceau ? Et pourquoi donc ne vient-il pas s’y blottir, l’enfant tant attendu ?
« Il y a des enfants qui trouvent que ce n’est pas drôle de se faire lire un livre sans images. » Sauf que, ici, la règle du jeu est de lire à haute voix tous les mots. Absolument tous.
« Notre histoire commence sur des collines où pousse à perte de vue une forêt d’arbres de Noël. C’est là qu’un jour un petit sapin fut planté, mais planté si négligemment que, lorsque le vent souffla fort, il tomba sur son voisin et n’eut pas la chance de grandir. » Tout petit et de traviole, notre sapin devient néanmoins le héros de ce conte de Noël.
« Il était une fois un jeune et talentueux musicien nommé Orphée. Sa mère, Calliope, n’était pas une femme ordinaire : elle était l’une des neuf Muses, filles du dieu Zeus, qui présidaient aux arts et aux sciences. Entouré par ces neuf déesses, Orphée apprit très tôt le chant, la poésie et la musique. »
« Il était une fois une petite ville d’Allemagne, Hamelin, où les habitants étaient si avares qu’ils comptaient toutes leurs dépenses. » Jusqu’à chasser les chats, bien inutiles à nourrir. Inutiles ? Voire. Car les rats, sans prédateurs, prennent possession de la ville.
Dans le petit village de Dorta, chaque veille de Noël, les villageois célèbrent le carnaval du dragon des montagnes à grand renfort de tambourinades. Le jour de Noël, après une marche aux flambeaux animée du son des cloches, un conteur est tiré au sort pour faire revivre l’histoire du dragon.
D’étage en étage, nous suivons la trajectoire de la fusée, de catastrophe en catastrophe ! Dans chacun des appartements de ce building américain, les dégâts permettent de rire de l’étonnement de chacun des habitants !
« Même pas peur ! » Hum, hum… il faut parfois y regarder à deux fois… La peur peut surgir d’un cauchemar (vraiment terrifiant pour Hugo), de la présence d’un gros chien (vraiment énorme pour Eliott), d’un orage (avec des éclairs et du tonnerre partout pour Lisa)...
« Futé le chimpanzé ! Malin le dauphin ! Finaud le corbeau ! Qui pense encore que les bêtes sont bêbêtes ? Se débrouiller dans le monde sauvage demande de la mémoire, de l’astuce, la capacité d’inventer et de communiquer », explique Fleur Daugey qui, à ses compétences d’éthologue ajoute un réel talent narratif.
« Au moulin, tout allait bien. Le meunier semait, récoltait, moulinait, pétrissait, mangeait et retournait semer. » Saison après saison… jusqu’au jour « où il vit des fleurs de chardon dans son beau champ blond ».