Hervé Tullet, Couleurs
Commençons par le rouge, le jaune et le bleu ; D’un doigt, - ou de toute la main, pas forcément aidée du pinceau -, on touille un peu et voici le vert, le violet et l’orange. Et si le blanc et le noir entraient dans la danse ?
Commençons par le rouge, le jaune et le bleu ; D’un doigt, - ou de toute la main, pas forcément aidée du pinceau -, on touille un peu et voici le vert, le violet et l’orange. Et si le blanc et le noir entraient dans la danse ?
Un album à colorier peut être vraiment intelligent ! Les premières pages de celui-ci retracent les principaux caractères de l’Art déco, avant de proposer des affiches, des étoffes, des bijoux à colorier.
Un bel album cartonné pour faire découvrir les merveilles de la nature aux plus petits.
« Par une belle nuit d’hiver, tandis que tu dors à poings fermés, blotti dans ta couverture toute douce, je peins un tableau pour toi. » Et quel tableau ! Celui de l’hiver canadien, avec ses neiges, ses aurores boréales, la biche et le renard, la chouette et le lièvre…
Du bonhomme de neige au téléphérique, du chamois à la luge : Philippe Legendre, peintre-graveur et auteur-illustrateur, explique comment les dessiner à partir de formes aussi simples que des ronds, des ovales, des triangles…
« A douze ans, Louis devint roi dans la cathédrale de Reims. Sa mère le conseillait toujours, car il était trop jeune pour gouverner. » De Poissy où il naquit à Damiette où la maladie le terrassa, en passant par le chêne de Vincennes, les enfants, crayons de couleur à la main, pourront s’initier à la vie de ce grand roi de France.
« A l’altitude 3000, celui qu’on rencontre, il ya quatre-vingt-dix-neuf chances sur cent pour que ce soit un ‘type bien’. Évidemment, je parle d’un temps sans funiculaire, monte-pente et autre ‘pousse-c…’ »
C'est à sa fille Raymonde, « Belle Petite Monde », 8 ans à peine, que s’adresse, depuis le front, le peintre Renefer, alias Jean Constant Fontanet (1879-1957). De la vie quotidienne des Poilus, il lui raconte, sur un modeste carnet reproduit en fac-similé, ce qui est racontable, en illustrant ses récits d’aquarelles prises sur le vif. Sans mièvrerie, avec une grande pudeur.
Une ambiance assez déroutante pour une veille de Noël pas comme les autres. Le format « album » n’est pas réservé aux tout-petits, loin s’en faut : ici, Fabienne Burckel mêle avec grand talent texte et illustrations.
Parce qu’aucun Européen ne doit ignorer qui sont Athéna et Apollon. Parce qu’aucune de nos jeunes filles ne peut être indifférente au sort d’Iphigénie, et aucun de nos garçons à celui d’Achille ou d’Ulysse.