Alexandre, « bien qu’il fût comptable de profession, avait toujours préféré la beauté des arbres à celle des chiffres ». Pour notre grand bonheur, il « avait fait le rêve de planter un arbre ». Et la terre, aride et caillouteuse, céda sous la force de son rêve. Un texte bref et sobre et des gravures dont il émane une vitalité rare, déterminée et douce à la fois.
Dès 7 ans et pour tous les poètes
Rascal, La forêt d’Alexandre, Editions À pas de loups, 2017, 40 p., 15,50 €