Et si pour une fois, je vous citais les dernières phrases du roman, et pas les premières ? Sachez alors que Dorothée, l’héroïne de ce grand classique anglais, « était assise dans l’immense prairie du Kansas et, juste devant elle, se dressait la nouvelle ferme qu’oncle Henri avait construite après que la tornade eut emporté l’ancienne. Oncle Henri était en train de traire les vaches dans la cour et Toto, qui avait sauté de ses bras, fonçait vers la grange en aboyant joyeusement.
Dorothée se leva et découvrit qu’elle était en chaussettes, car les souliers d’argent étaient tombés de ses pieds pendant le volet étaient pour toujours perdus dans le désert. »
Maintenant, à vous de savoir quel avait été le rôle de ces souliers d’argent ! Une belle réédition du texte intégral.
Dès 9 ans
L. Frank Baum, Le Magicien d’Oz, illustrations de Lorena Alvarez, Editions Usborne, 2016, 244 p., 16,50 € — Texte intégral, traduit de l’anglais (américain).