« Parce que le langage du vent est quelquefois plus profond que les âmes qui l’écoutent », parce que les sourciers sont gens de grande sauvagerie, parce qu’un seul grain de blé peut interdire au moulin de virer… et pour tant d’autres raisons encore, il faut lire des contes, et en relire encore. Surtout quand une plume aussi légère que sage magnifie la tradition orale de l’Anjou et des rives de Loire pour en tirer de belles leçons de vie. A lire au coin du feu, dans une cabane perchée – ou sur le plat-bord d’une toue cabanée.
Adolescents bons lecteurs
René Bazin, Contes merveilleux, Via Romana, 2008, 140 p., 15 €