Une bibliothèque enfantine idéale
Une bibliothèque enfantine idéale
Quelques jours avant son anniversaire, Arthur « remarque un paquet sur l’étagère du haut, enveloppé dans un papier brillant avec des étoiles et un gros ruban rouge ». Que peut-il contenir ? Mystère et boule de gomme !
Le 25 mars – mais de quelle année ? – Ivan Iakovlévitch, barbier à Saint-Pétersbourg de son état, fit une curieuse découverte. Au beau milieu de la miche de pain de son petit-déjeuner, il trouva… un nez. Et quel nez ! Celui de l’assesseur de collège Kovialov qu’il avait rasé la veille. Un Nez qui se va se promenant par les rues en grande tenue de conseiller d’État…
Pour les jeunes lecteurs qui revêtiraient volontiers un épais macfarlane avant de suivre leur héros à travers le monde. Ce « Phileas Fogg, personnage énigmatique, dont on ne savait rien, sinon que c’était un fort galant homme et l’un des plus beaux gentlemen de la haute société anglaise » …
« Regarde, petite fille, comme tout devient vert, c’est le printemps ! », pépient le merle et sa merlette. Chaque saison interpelle nos cinq sens : goûts des fruits, odeurs des herbes, roulement du tonnerre, douceur du sable – et que de merveilles pour les yeux.
Ce gentil facteur, qui pédale à qui mieux mieux entre deux tasses de thé, fait le lien entre les héros des plus célèbres contes de fées. Que trouve-t-on en effet dans sa sacoche – et dans les enveloppes de ce livre à systèmes ?
Connaissez-vous ce jardin « sans porte ni chemin, où l’on entre sans le savoir » ? Il est peuplé de petits lutins coréens, proches cousins des elfes d’Elsa Beskow, et fleurit au gré des saisons.
La Réunion des musées nationaux a pris le parti d’expliquer en termes clairs dans un album la vie de Lucas Cranach l’Ancien (1472-1553). Peintre, mais aussi imprimeur, apothicaire et même bourgmestre de la ville de Wittenberg, il s’est trouvé au carrefour du gothique et de la Renaissance, des Flandres et de l’Italie, du catholicisme et de la Réforme.
Ce petit recueil présente les plus grands mythes de Cuchulain à Finn, de l’Irlande au pays de Galles. Quelques illustrations penchent vers un peu trop de facilité, mais qu’importe, plongez dans le chaudron de l’immortalité !
Par une coquetterie du Finlandais Zacharias Topelius (1818-1898), L’Espoir, resté à quai, ne sert que de décor à l’histoire complètement loufoque d’un autre navire, le Refanut. Dépassés, les Marseillais, avec leur sardine qui bouche le Vieux-Port ! Le Refanut, lui, se coince dans le golfe de Botnie, rien de moins !
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